Résumé:
Venez mes amis à la beauté lugubre
Je donne de la voix à ce qui n'a bouche
Ni langage Ni corps Le vent L'air
A ce qu'on dit transparent
Ce qui vient mourir en fin de vers
Ce que le papier recèle et cache en sa blancheur
Filigrane des coeurs
Tissé dans ma poitrine