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De la maltraitance infantile à l'infanticide : la mère, l'enfant, le ravage KESSACI: De maltrait infant à  infanticide

Kessaci, Lyasmine 


Fournisseur:
Albert-le-Grand
Langue:
fr
Date de publication:
02 - 2019
EAN:
9782753537033
ISBN:
Prix libre indicatif:
29.80 CHF
Formats:
Livre Broché
Pages:
302
Dimension:
240 x 160 x 20 mm
Disponibilité Suisse:
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Disponibilité France:
Disponible
Résumé:

De la maltraitance infantile à l'infanticide

La mère, l'enfant, le ravage

La mère - l'enfant : tant de manières de saisir leurs rapports !

Il en est pourtant une à se détacher, particulièrement difficile à admettre, et néanmoins nécessaire à prendre en compte dès lors que l'on se place sur le terrain de la psychopathologie : appelons-la « le ravage ».

C'est à l'explorer que se consacre cet ouvrage. Et à l'explorer jusque dans ses ultimes conséquences, qu'elles soient réelles ou fantasmatiques.

« On bat un enfant » ; « on tue un enfant » : c'est en effet à ces représentations qu'aboutit parfois un tel ravage. Présentification de l'horreur, pour nombre de nos contemporains. Réalité clinique, saisie par le biais ce que l'on nomme « maltraitance infantile » et « infanticides », pour quelques autres. Et déclinaison d'un fantasme - le plus fondamental qui soit, en cela qu'il convoque d'un côté le rapport au père et le masochisme primordial, d'un autre le rapport à l'idéal et le narcissisme primaire - pour tout un chacun, prétendons-nous.

C'est donc à nouer structure du fantasme et réel de la maltraitance infantile que s'emploie cet essai.

Qui commence par montrer comment, et par quels biais, la féminité peut porter à la maternité, et ce qui se joue dans le « désir d'enfant », autant parfois que dans le désir de mort de l'enfant.

Puis à quels extrêmes peut atteindre la clinique avec le « syndrome de Münchhausen par procuration », d'une part, les « néonaticides » avec conservation des corps des nouveau-nés, d'autre part. C'est-à-dire à quels extrêmes on aboutit lorsque l'horreur se montre pour mieux se dissimuler, et se cache pour mieux s'exhiber.

Ce qui conduit en somme à éclairer la logique du fantasme par le réel clinique - et réciproquement.

C'est-à-dire à dévoiler d'autant, prétendons-nous encore, l'essence de la structure subjective.